Fina Findina est la seconde association sénégalaise de lutte contre la drépanocytose. Son président, Amadou Barry, alias Barry, a lancé l’association en 2010 afin de sensibiliser les populations autochtone à la drépanocytose. Cette maladie génétique endémique en Afrique, touche surtout les enfants et reste très mal connue des Sénégalais car négligée par les autorités locales.

Avant de s’y intéresser, Barry ne connaissait pas grand-chose de la maladie sauf qu’elle avait emporté deux de ses petites sœurs.  Comme beaucoup d’autres, impuissant, il ne comprenait comment la drépano - comme on l’appelle au Sénégal – pouvait faire souffrir ses cibles et rudoyer les destins de leurs proches.  N’ayant pas de formation médicale, c’est en autodydacte qu’il a appris les symptômes, signes cliniques, l’épidémiologie, les techniques diagnostiques et les traitement de la maladie. Aujourd’hui, il cherche à transmettre ce qu’il sait au plus grand nombre.

Fina Findina signifie "éveiller les consciences" en poular, une langue locale. Et c’est bien en cela que peut se résumer l’objectif de Barry. Simple mais ambitieux, Barry projette de parcourir le Sénégal en s’attardant surtout dans les régions isolées pour parler aux gens de la maladie, leur montrer ses signes, expliquer comment elle se transmet et comment en soulager les maux.

Pour ce faire, Barry réalise de petites présentations dans les quartiers pauvres de Dakar ou en périphérie de la capitale sénégalaise. Il voudrait également mettre en place un système de parrainage d’enfants drépanocytaires dont les parents n’ont pas les moyens de payer les coûts de soins de santé. Des idées, il en a des tas mais les moyens manquent.

Fina Findina est une toute petite association qui n’en est qu’à ses débuts. Cependant, Barry est plus que déterminé à la rendre influente et incontournable pour tout sénégalais cherchant à comprendre la drépanocytose.

Si ce projet vous intéresse et que vous voulez soutenir Fina Findina, faites un don à la Fondation Revosa.

Pour vos dons et votre générosité, Fina Findina et Revosa vous remercient mille fois.

Passages à vie est un reportage photographique qui part sur les traces de l’immigration clandestine en Europe. Hélène, Isabelle, Paul et Romain sont quatre étudiants en journalisme qui ont décidé de conclure leurs études par cette expérience unique.

S'ils ont décidé de travailler ensemble sur ce sujet, c’est parce que ces 4 jeunes partagent une série de convictions: ils sont convaincus que tout être humain a droit à une vie digne et à des droits égaux. L’Europe offre protection et bien-être à ses citoyens. Pourtant, les conditions de vie des immigrés illégaux sont souvent inhumaines. Leur détresse, souvent ignorée, est cependant à nos portes.

L’histoire des immigrés est l’histoire d’un périple, d’un chemin à suivre pour atteindre l’eldorado rêvé et c’est cela que cette jeune équipa de reporters ont l’intention de montrer. Ils désirent mettre en lumière l’histoire répétitive du voyage des réfugiés à travers 4 étapes incontournables: Calais, Lampedusa, Ceuta et la frontière entre la Turqui et l'Europe.

Ils comptent ainsi illustrer ces 4 points au moyen d’un reportage photographique, en se rendant au coeur des routes migratoires.

Action et Coopération pour le Développement dans les Andes est une ONG belge. L'ACDA développe d'une part des projets en coopération avec des associations et ONG locales au Pérou et d'autre part, des actions d'éducation au développement en Belgique. 

Située à Péruwelz, dans le Tournaisis, ACDA est active depuis 1969 au Pérou. Avec ses partenaires, elle a pour objectifs de soutenir des projets populaires dans les domaines d'intervention de l'agriculture, la santé, l’éducation, la promotion sociale, l’emploi et l’environnement.

La réflexion d'ACDA en matière de développement et de coopération est menée par des groupes tant au Pérou qu'en Belgique, composés d'experts, membres bénévoles, militants et représentants associatifs.

Moine bouddhiste, originaire de grande Bretagne, Stephen Zangpo s’est installé depuis plusieurs années au centre de Thimphu, la capitale du Bouthan, pour y rencontrer et conseiller des jeunes en difficultés, principalement à cause de problème d'alcool ou de consommation de drogue. Mr. Zangpo les encourage à redonner un sens à leur vie. « Coming back to Life » est le nom qu'il a donné à son projet. Revosa lui a apporté son soutien sous forme de don, qui lui permettra d’envoyer en Inde quelques jeunes qui accepteront de suivre une cure de désintoxication pendant quatre mois.

Tout d'abord le Lions Club c'est quoi ? Le Lions Club est un service club international de bénévoles. C'est la plus importante organisation de clubs philanthropiques du monde (1,4 million de membres répartis dans plus de 46 000 clubs, répartis sur 220 pays et territoires.) Les actions des membres de Lions Clubs consistent à organiser des activités de levée de fonds et à encourager le volontariat pour des actions sociales. Chaque club local participe, selon ses propres choix, à des actions locales, nationales ou internationales. La multiplicité des actions qui en découlent constitue une spécificité du Lions Clubs par rapport à d'autres organisations plus « ciblées ». Leur devise est "We serve" !

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Lors de notre voyage familial au Bouthan, nous avons donc eu l'occasion de rencontrer le Lions Club Druk Buthan dont faisait partie notre guide Duptho. Notre grand-père Jean-Maurice faisant lui-même partie d'un Lions Club (Mons) souhaitait rencontrer et participer aux actions de cet autre club. Nous avons donc passé une soirée avec tous leurs membres pendant laquelle ils nous ont exposé leurs différents projets, leur vision, leur plan d'action. Il fut décidé par les membres de la fondation d’octroyer un don pour l’acquisition d’une ambulance par le Lions Club de Thimphu. Cette ambulance serait peinte avec le sigle du Lions Club et de sa devise « We serve » et serait mise à la disposition d’un hôpital et de plusieurs centres médicaux des environs.

Instituiçao Expressao Cultual  (IEC), basée au Jardin Gramacho dans l’Etat de Rio de Janeiro au Brésil, accueille des enfants exposés quotidiennement aux risques des favelas et des zones dominées par le trafic de drogues qui entourent le quartier. En ce moment, l’institution compte deux professeurs bénévoles et des mères d’élèves qui assurent le ménage et la cuisine. L’ICE survit grâce à des donations spontanées et occasionnelles et souhaiterait se procurer des livres didactiques et des appareils électroménagers d’occasion.

L´ONG Virlanie s´occupe d´enfants des rues majoritairement à Manille, la capitale des Philippines. Ils ont plusieurs maisons accueillant des mineurs d’âge, certains sont orphelins, d’autres sont des enfants maltraités ou des enfants dont les parents n´ont pas les moyens de s’occuper. Le défi de chaque jour : Comment s´organiser avec les moyens mis à disposition pour que les petits en bénéficient au maximum. Une équipe de Philippins s´occupent chaleureusement des soins des enfants. Les bénévoles sont chargés de mettre en place des activités pour les stimuler, pour qu´ils apprennent et, bien sûr aussi, pour qu´ils s´amusent.

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La plupart des enfants sont scolarisés, soit à l´école publique soit suivent des cours organisés par des professeurs de Virlanie. L’ONG attache beaucoup d´importance à la scolarité des enfants. Pas seulement pour ceux qu´elle héberge, elle soutient aussi des élèves dans des bidonvilles autour de Manille pour qu´ils puissent continuer leur scolarité. Il existe une unité appelée « Mobile Unit » qui se déplace plusieurs fois par semaine dans un petit camion pour donner des cours et des repas sur un parking devant un bidonville.

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La Fondation RevOsA a entendu parler de cette ONG grâce à Laura qui y a passé plusieurs mois en tant que bénévole. Le don servira alors à la scolarité des enfants et à leur maintien dans les meilleures conditions de vie possible. Laura nous partage son vécu : « Je n´ai jamais vu d’enfants qui possédaient si peu et qui faisaient malgré tout preuve d´une telle joie de vivre et d´une telle énergie. Cette expérience m´a beaucoup marquée et elle restera un véritable exemple à suivre.  Je pense souvent à ces enfants auxquels on ne peut que s´attacher et c´est très rassurant de savoir qu´ils sont entre de bonnes mains chez Virlanie. Sur les marches à l´entrée du bureau de la fondation, on peut lire : "Every journey starts with just a single step." Et j´espère que ces enfants feront plein de petits pas vers un avenir plus radieux. »

Le projet Ibanga est une initiative portée par la paroisse belge de St-Martin à Arlon depuis 2007. Quelques paroissiens ont décidé de travailler ensemble et ont créé ce projet. Il a permis la construction d’un centre hospitalier à Lokolama dans le diocèse d’Inongo en République démocratique du Congo. Ce centre de santé permet l’accès aux soins pour les habitants du village qui n’y ont souvent pas accès car trop loin ou trop inaccessible. L’objectif du projet étant que le travail se fasse entre la paroisse belge et les habitants de Lokolama directement. Les belges se sont d’ailleurs rendus plusieurs fois là-bas. Ibanga permet également la scolarisation d’enfants dans le village.

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Quel a été le rôle de RevOsA ? En 2019, un appel au don est lancé par Ibanga pour le financement de panneaux photovoltaïques et d’une couveuse. Le dispensaire veut pouvoir accueillir les mamans avec leurs enfants prématurés dans de meilleures conditions. La première étape est donc d’installer les panneaux et ainsi pouvoir raccorder la couveuse à ces-derniers pour permettre son bon fonctionnement grâce à une autonomie en électricité. La fondation suit de près l’avancée de ce projet et peut déjà vous dire que les panneaux sont arrivés à Kinshasa et doivent être acheminés vers le village. Nous espérons vous donner très bientôt des nouvelles du dispensaire de Lokolama.

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Vous pouvez toujours aller faire un tour sur le site et même faire un don si le projet vous plait.